lundi 7 octobre 2013
dimanche 6 octobre 2013
Michel Gémignania fait don de l’une de ses œuvres : « l’Héritage ». - Parmentier Colette
Beaugency
Une peinture offerte à la municipalité
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RENVOI D'ASCENSEUR GENEREUX DE MICHEL GEMIGNANI..Lundi, en fin de matinée, Claude Bourdin, maire de Beaugency, recevait en cadeau pour la ville le tableau « l'Héritage », des mains de Michel Gémignani, peintre laillylois, en reconnaissance de l'accueil qu'il a reçu lors de son exposition à l'église Saint-Étienne, en mai dernier.
« Un tableauqui est vu
va vivre »
« Un tableau, c'est muet, ça ne parle pas. Mais un tableau qui est vu va vivre, et vous m'aidez à ce que ce tableau devienne une 'uvre d'art », a expliqué l'artiste. Pourquoi le choix de « l'Héritage » ? « Vous héritez un peu de mon travail » répondra le peintre.
De la banalité des choses, il reconstruit une histoire inspirée du souvenir de son grand-père, peintre et graveur, qui avait le don du bricolage. À partir d'objets usuels qu'il dispose dans une organisation géométrique rigoureuse, mise en valeur par une gamme de couleurs intenses, il rend une « lumière ajoutée qui raconte un peu l'espace ».
mardi 1 octobre 2013
Esclandre pendant le conseil municipal,
Esclandre pendant le conseil municipal
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Une personne du public monte sur la table On pouvait s'attendre à une certaine tension, suite à l'annonce de plusieurs prétendants de la majorité au poste de maire. Mais l'agitation n'est pas venue du côté des élus, mais de celui du public.
Au moment du point concernant l'acquisition de parcelles pour la future cuisine centrale, Claude Bourdin, maire, a fait la synthèse d'une lettre reçue par l'association Café citoyen créatif. Celle-ci avait tenu, la veille, une commission citoyenne pour demander des explications sur la décision d'investissement concernant la nouvelle cuisine centrale.
Une adhérente de cette association, présente dans le public, a estimé que la synthèse du maire n'était pas juste et a souhaité intervenir. Claude Bourdin a refusé, la loi interdisant d'ailleurs toute intervention du public lors de conseils municipaux, ce qu'ignorait la militante.
La femme a alors insisté. Mais les élus ne l'écoutant pas, elle a fini par monter sur la table autour de laquelle siégeaient les élus, refusant d'en descendre avant d'avoir réussi à lire sa lettre.
La séance suspendue Claude Bourdin a été contraint de suspendre la séance et de contacter les forces de l'ordre, qui ne sont pas intervenues, puisque l'adhérente a finalement accepté de descendre. Cécile Blin, directrice générale des services, a lu la lettre hors séance, de manière à calmer les esprits.
Puis, les élus ont repris les débats. À l'ordre du jour, des demandes de subventions auprès de la direction régionale des affaires culturelles et du conseil général, pour les travaux de la salle d'honneur de l'hôtel de ville et pour la restauration des tentures brodées.
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